Lundi 18 mars 2024, une délégation d’élus communistes de la métropole de Lyon

Le 25 mai, rejoignez la mobilisation pour le maintien de l’hôpital Henry Gabrielle sur le site de Saint Genis Laval

Lundi 18 mars 2024, une délégation d’élus communistes de la métropole de Lyon ainsi que de nombreux militants ont  accompagné Cécile Cukierman, Sénatrice de la Loire et présidente du groupe communiste au Sénat  à la rencontre des organisations syndicales du centre Hospitalier du Vinatier et de l’association de défense de l’Hopital Henry Gabrielle. 

Ces deux visites ont permis de mesurer l’impérieuse nécessité de préserver ces deux sites. Cécile Cukierman a rappelé que ni médicalement, ni financièrement, ni environnementalement  le projet de transfert d’Henry Gabrielle sur le site du Vinatier n’était la solution.  

L’urgence dans notre pays est de renforcer la psychiatrie et les soins de suite et de rééducation. Ceux-ci doivent avoir les moyens de répondre aux besoins des patients, d’accueil des proches et du bien-être des personnels médicaux. La réputation d’Henry Gabrielle n’est plus à faire. Le site permet un plateau de soin y compris en extérieur et un apprentissage au retour à la « vie d’après » indispensable aux malades. Son transfert dans un espace clos n’est pas un gage d’efficacité médicale. Au regard des besoins en psychiatrie dans notre pays, le site du Vinatier doit être renforcé. La psychiatrie ne peut pas et ne doit pas être uniquement tournée vers les neurosciences et doit pouvoir se faire dans un espace qui lui est entièrement dédié.

Forts du vœu adopté par le Conseil Métropolitain à une large majorité en 2022, les élus communistes de la métropole demeurent mobilisés et participeront le 25 mai prochain à la mobilisation pour le maintien de l’hôpital Henry Gabrielle sur le site de Saint Genis Laval. Cécile Cukierman interpellera à l’issue de cette journée de mobilisation la ministre du travail, de la Santé et des solidarités sur les moyens donnés à l’hôpital public pour la psychiatrie et les soins de suite et de rééducation. 
 

Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant

Le 21 février 2024, Missak et Mélinée Manouchian entreront au Panthéon. C’est un évènement de grande importance qui dit la reconnaissance de toute la Nation à ce couple de Résistants communistes immigrés.

Arméniens ayant dû fuir le génocide, ils rejoignent la France dans l’entre-deux-guerres mais n’obtiendront jamais la nationalité française. Ils ne s’en battront pas moins pour la liberté de notre pays et celle de tous les peuples face au nazisme. À la place qui est la sienne, nous entendons rendre hommage à ces hautes figures de notre histoire ainsi qu’à toutes et tous les résistant·e ·s et plus particulièrement aux membres du groupe Manouchian exécutés le 21 février 1944 à 15h30.

Un rassemblement/hommage aura lieu mercredi 21 février, devant le veilleur de Pierre, à 15h30, place Bellecour à Lyon.

A l’invation de Michèle Picard, maire de Vénissieux

• Inauguration de l’exposition _ »_Vivre à en mourir_« _, en présence
des auteurs

Vendredi 16 février à 18 heures – médiathèque Lucie-Aubrac
Cette exposition retrace le destin de Marcel Rayman à travers les
planches originales de la bande-dessinée éponyme réalisée par Jeanne
Puchol et Laurent Galandon.

• Projection du film « L’Armée du crime »
Mercredi 21 février à 18h – cinéma Gérard Philipe.

Réalisé par Robert Guédiguian, ce film retrace le parcours héroïque
du groupe FTP-MOI dirigé par Manouchian.

• Concert de François Mardirossian
Mardi 23 février à 18h – médiathèque Lucie-Aubrac.

Ce jeune pianiste interprètera des partitions rares et inédites qu’il
a ramenées d’Arménie.

Suppression de lignes de bus en bas de chez vous ! Le saviez-vous ?

Lettre ouverte des communistes au Président de la Métropole

Alors que les élus écologistes promettaient proximité, hospitalité et accessibilité, alors que la concertation devait “redonner une place aux invisibles et aux sans-voix », la décision de supprimer le passage des lignes fortes de bus auprès du cœur battant de notre ville est à rebours de tous ces engagements.
Avec l’arrêt de bus Hôtel de Ville supprimé, il faudra marcher « seulement » 500 mètres pour rejoindre la rue Grenette ou traverser la Saône pour rejoindre la rive gauche.

Les personnes en situation de handicap, personnes âgées, femmes enceintes…vous remercient !

Comment peut-on communiquer sur la généralisation du dispositif permettant aux femmes seules de descendre entre deux arrêts quand on supprime les bus sur un quadrilatère aussi vaste en plein centre-ville ? Comment peut-on prétendre rendre la parole aux invisibles quand ceux-ci voient leurs conditions de vies ainsi ignorées et dégradées ?
Les élu(e)s nous affirment : « Les habitants sont d’accord pour supprimer des arrêts de bus ». Même les habitants directement concernés ?
La démocratie vous remercie.

OUI IL FAUT REDUIRE LA PLACE DE LA VOITURE ! OUI IL FAUT RENFORCER LES MOBILITES DOUCES !

NON CELA NE DOIT PAS SE FAIRE AU DETRIMENT DE LA DESSERTE DE PROXIMITE EN TRANSPORTS EN COMMUN INDISPENSABLE POUR LES PLUS FRAGILES D’ENTRE NOUS.

Pour une réelle concertation avec les habitants directement concernés !
Pour interroger collectivement des propositions alternatives qui n’empêchent ni la piétonisation, ni le maintien des dessertes de proximité !

DEMANDONS AUX ÉLUS DE CONCERTER AVEC TOUS LES HABITANTS CONCERNÉS PAR CETTE DISCRIMINANTE ET INUTILE SUPPRESSION DE PASSAGES DE LIGNES FORTES DE TRANSPORTS EN COMMUN.

Les communistes des 1er, 2nd et 4ème arrondissements ont pris connaissance du projet de réaménagement de la Presqu’île qui prévoit de supprimer le passage de nombreuses lignes de bus en son cœur. Nous alertons les élus métropolitains et lyonnais :

« Si nous partageons comme vous et de nombreux Lyonnais et Lyonnaises le besoin d’apaiser notre Ville et de donner plus de place aux modes doux, nous ne pouvons que constater que l’option retenue ne pourra avoir comme conséquence que d’exclure violemment du cœur de Ville de nombreuses personnes connaissant des difficultés pour se déplacer »

« Supprimer l’accès des automobiles à la Presqu’île devrait au contraire s’accompagner d’un renforcement de l’offre de transports publics et d’un maillage plus étroit encore, pour permettre à toutes et à tous de pouvoir se déplacer sans difficultés ! »

« Alors que la France vient d’être montrée du doigt par le Conseil de l’Europe concernant le traitement réservé aux personnes porteuses de handicap, vous confirmez par un projet tout à la fois validiste, âgiste et sexiste que celles-ci sont bien la 5e roue du fauteuil ».

« Nous vous demandons donc de reconsidérer la suppression du passage des lignes fortes au cœur de la presqu’île et au contraire de densifier sa desserte en transports en communs afin de rendre l’utilisation des automobiles aussi inutile que possible et de ne laisser personne sur le bord de la route ».

« Comme de nombreux citoyens, nous n’avons pu participer à aucune réunion publique et n’avons pu que prendre connaissance d’une décision tranchée à petit comité. C’est trop souvent le cas depuis le début de votre mandat, à rebours des promesses de plus de transparence et de démocratie directe »

La Presqu’île n’est pas un parc pour promeneurs, elle est un lieu de vie et un lieu de travail pour toutes et pour tous ».

EXIGEONS UNE VRAIE PRISE EN COMPTE DE L’AVIS DES HABITANTS CONCERNES PAR CES SUPPRESSIONS !

SALAIRES, EMPLOI, RETRAITES

Ensemble, restons mobilisé·e·s pour gagner !

Le jeudi 27 octobre Rassemblement à 12h
devant le siège du MEDEF
60 av Jean Mermoz Lyon 8ème

Macron et le grand patronat
Pour les familles populaires, les factures augmentent et les salaires stagnent.
Pour les actionnaires, des profits records indiquent que la spéculation est au plus haut alors que les délocalisations d’activités et les plans de licenciements se poursuivent.

Ça suffit !

Macron et le grand patronat choisissent la confrontation :

♦ la répression et les réquisitions pour les travailleurs mobilisés par la grève ;
♦ le 49-3 pour museler les deput2•es qui agissent et portent des propositions pour faire entendre la voix des salarié•es et des familles populaires.

C’est inacceptable !

La mobilisation de ces dernières semaines a d’ores et déjà permis à des salarié•es d’obtenir des augmentations de salaire. Ces premières victoires montrent que la lutte paie.

Alors oui, restons mobilisé•es ensemble !
Toutes et tous ensemble
aux côtés des organisations syndicales

les 27 octobre et 10 novembre !
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