Explosion des charges de logement, mettre sa paie dans un plein d’essence, choisir entre bien se chauffer ou bien manger, fermeture des universités, réduction des services publics… La crise énergétique est une crise sociale. Une crise de celles et ceux qui ne peuvent pas payer pour accéder à ce qui devrait être un bien commun, un bien accessible à l’humanité tout entière. Ce bien fondamental pour se chauffer, pour cuire, pour se mouvoir, pour produire, pour se soigner. Pourtant un secteur public de l’énergie fort permet aux français de détenir des barrages hydrauliques amortis depuis des décennies (…) Lire l’intégralité du journal
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